|
Repères biographiques |
|
|
|
|
1933 - 16 février |
Naissance à Constantine.
|
|
|
1933 -1939 |
Installation à Alger à L’Algeria. Mon père est Directeur général de l’Empire Boussac pour l’Afrique et l’Algérie.
|
|
|
1939 - 1942
|
Occupation Allemande restreinte en Algérie, mais sévères lois raciales de Vichy. Mon père perd son emploi. L’antisémitisme à Alger. La vie à l’Algeria, les amis, les ennemis. Les bombardements. Ma mère retrouve Monseigneur Leynaud.
|
|
|
1942 - novembre |
Débarquement américain à Sidi Ferruch. Libération de l’Algérie. Mon cousin Marcel Fellus part à la nage rejoindre les bateaux américains.
|
|
|
|
1942 - 1945 |
Installation à Oran où mon père est nommé Directeur du Service Américain de Récupération des Stocks (SARS) . Une tâche écrasante qui le tuera. Ma mère enceinte gravement malade du cœur doit subir un avortement thérapeutique. |
|
|
1945 - 10 avril |
Décès de mon père. Retour à Constantine chez le grand-père paternel ; études secondaires. Décès du grand-père. Retour à Alger.
|
|
|
1952 |
Université de médecine d’Alger. Les concours.
|
|
|
1954 |
Début de la guerre d’Algérie. Les attentats.
|
|
|
1958 |
De Gaulle à Alger. « Vive l’Algérie française ! » crie De Gaulle à Mostaganem. Le plan de Constantine. La vie à Alger.
|
|
|
|
1960 |
Appel sous les drapeaux. Muté comme médecin en Kabylie pendant 32 mois, 60 consultations par jour sur la population. De Gaulle amorce le désengagement de la France. La fin des illusions.
|
|
|
1961 |
Les barricades. L’ O.A.S. |
|
|
1962 |
L’Indépendance de l’Algérie. De Gaulle remet l’Algérie au F.L.N. Le déshonneur du massacre des harkis. L’Exode. Le dénuement. |
|
|
1962 - 1964 |
Médecin à la Courneuve dans la fameuse Cité des 4000 logements où sont entassés les rapatriés d’Algérie. Création du Centre Médical d’Orgemont à Épinay-sur-Seine. |
|
|
|
1965 |
Premier mariage avec Michèle Bleustein-Blanchet ; deux enfants. |
|
|
1969 |
L’alunissage, la réception nocturne aux Issembres. Les premiers craquements du couple. Mon voyage en Égypte avec Johnny Hallyday, le seul ami sincère. Nous ne nous quittons plus. |
|
|
1972 |
Nomination au poste de Médecin-Chef du DUMENAT à l’U.E.R. de Paris Nord. L’enseignement. La recherche. Divorce. |
|
|
1973 |
Nommé Professeur de pharmacologie clinique de matière médicale à la faculté de Pharmacie de Sienne. La lourdeur de la tâche |
|
|
|
1975 |
Second mariage avec Marie-Claude Corre. Johnny est mon témoin. |
|
|
1979 |
Second divorce. |
|
|
1984 |
Reçu à la prestigieuse Fondation Carlo Erba de Milan. Le premier à être reçu fut le docteur Schweitzer. |
|
|
1985 |
Sylvie Vartan me présente sa meilleure amie, ma future femme. Mariage avec la décoratrice Michèle Gayraud. Projet d’installation dans le Luberon et achat des « Santolines ». En attendant, installation à Neuilly boulevard des Sablons. Le cinéma. |
|
|
1987 |
Chevalier du Merite National. |
|
|
|
1988 |
Chevalier de la Légion d’Honneur. |
|
|
1996 |
Création de la Cinémathèque du Luberon. |
|
|
1998 |
La Retraite enfin ; la vie dans le Luberon ; le paradis sur terre ; ma femme se révèle un peintre de talent, son succès est immédiat. |
|
|
200 - 2006 |
Début d’une carrière littéraire. Encore Sylvie Vartan et son mari qui me demandent d’écrire un scénario sur Marie-Antoinette pour la télévision américaine. Le projet échoue, le scénario devient un roman à succès, Les soixante-seize jours de Marie-Antoinette à la Conciergerie, édité par Actes Sud et couronné par l’Académie Française. |
|
|
|
2006 - 2009 |
Nouveau roman : La Révolution fracassée en deux tomes. L’histoire peu connue d’un homme, Jean de Batz, qui combat la Terreur et ses protagonistes, les Terroristes. |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|